Ce sont des signes étranges, tracés la peinture noire sur des portes d'appartements, dans des immeubles situés d'un bout l'autre de Paris. Une sorte de grand 4 inversé, muni de deux barres sur la branche basse. En dessous, trois lettres : CTL. A premire vue, on pourrait croire l'uvre d'un tagueur. Le commissaire Adamsberg, lui, y décle une menace sourde, un relent maléfique. De son côté, Joss Le Guern, le Crieur de la place Edgar-Quinet, se demande qui glisse dans sa boîte messages d'incompréhensibles annonces accompagnées d'un paiement bien au-dessus du tarif. Un plaisantin ou un cinglé ? Certains textes sont en latin, d'autres semblent copiés dans des ouvrages vieux de plusieurs sicles. Mais tous prédisent le retour d'un fléau venu du fond des âges...